News

Partager sur :

Champagne EPC : retour sur un succès éclair !

Publié par Patrick BOUILLET
Vue 75 fois

L'association a axé son développement sur les prochaines années dans l'accompagnement et la valorisation de l'entrepreneuriat "Made in ESSCA". Nous vous proposons de découvrir le retour d'expérience d'Edouard Roy (promo 2014) qui fit partie des nominés "Jeune Talent" en 2020.

 

Que de chemin parcouru en seulement 5 ans depuis sa première levée de fonds et le retour qu'il nous faisait de son expérience en plein début de pandémie. 

NDLR : cet article est une reprise de la publication LinkedIn d'Edouard Leroy. Pour voir la publication originale : https://www.linkedin.com/posts/edouardroy_%C3%A0-27-ans-jai-v%C3%A9cu-une-%C3%A9poque-de-folie-activity-7193543925133967360-McpA?utm_source=share&utm_medium=member_desktop

À 27 ans, j’ai vécu une époque de folie. Notre marque de Champagne venait de convaincre un des plus grands entrepreneurs français.

C’était durant l’été 2019.

Nous venions à peine de créer Champagne EPC.

Et avec Jérôme, nous devions pitcher le concept de la boite face à des actionnaires de renom.

Très vite, il y a eu une émulation. Et ça me paraît encore incroyable.

EPC a embarqué des gros noms tels que : 
- Charles-Edouard Bouée, CEO de Roland Berger
- Cédric Sire, le cofondateur de webedia
- Hervé Augustin (ex DG des Champagnes Bollinger/Ayala)

Cerise sur le gâteau : nous sommes même devenus l’ovni du portefeuille technologique du fonds Kima Ventures de Xavier Niel.

Bref, des gens qui avaient pignon sur rue ont cru en nous. 
Alors qu’ils voient des centaines de dossiers passer chaque année.

Et encore aujourd'hui, j’ai du mal à y croire.

Parce que j’étais un vingtenaire. 
Parce que le milieu du Champagne est très concurrentiel.
Parce que s’y faire une place était un pari fou, dans un contexte tendu.

Étonnamment, ce succès précoce se solde aussi par un syndrome de l’imposteur chez moi.

J’ai souvent du mal à me réjouir de notre croissance.

La peur de décevoir, de ne pas être à la hauteur…

Je pense que c’est le paradoxe des réussites entrepreneuriales inattendues.

C’est tout aussi plaisant que challengeant pour le futur.

Après tout, je ne voudrais pas qu’on nous accuse de nous reposer sur nos lauriers.
Surtout dans le domaine de la vigne. 😉




Aucun commentaire

Vous devez être connecté pour laisser un commentaire. Connectez-vous.